Yan Admin
Messages : 32 Date d'inscription : 13/10/2016 Age : 34 Localisation : Vienne (38)
| Sujet: Re: Coryll'Ann Allyannister - décédée Jeu 27 Oct - 11:09 | |
| Fiche de personnage (format PDF) : ici Livre de sort (format word docx) : ici Meurtre d'Alexei- Spoiler:
1 – Je me prépare et je me jette dessus un sort de protection contre le bien. S’il n’est pas averti il ne devrait pas s’en rendre compte tout de suite. Je me jette aussi le sort de « Force » dessus pour améliorer mon toucher !
2 – Je le séduis, mais pas comme une femme, comme une pauvre fille malheureuse repentante qui voudrait se convertir à Pelor et retrouver ainsi la lumière du bien et celle de Pelor, gros embobinage, pleurs, grande misère et tout et tout, seul Pelor peut me sauver....
3 – Je l’attire pour cela dans un recoin sombre, genre angle de mur – Très important l’angle –
4 – Je lance « injonction », et je lui « dors » -pas de jet de sauvegarde, temps d’incantation 1 –
5 – Round suivant j’ai l’initiative automatique car il se relève de l’injonction, je lui jette « toile d’araignée dessus », d’où l’importance de l’angle de mur ! s’il réussit son Jet de sauvegarde et s’il a 18 de force, sa vitesse est réduite à 60 cms par round. Sinon il est immobilisé dans la toile !
6 – Je jette une sphère de silence 5mètres de diamètre sur lui et la toile d’araignée. Si je perds l’initiative il a le temps de jeter un sort, mais il se débat dans la toile d’araignée et il a du mal à incanter quand même.
7 – Normalement j’ai un énorme bonus au toucher (en gros +4) plus mon bonus de force parce qu’il est soit très ralenti, soit immobilisé. Je le flèche avec mes carreaux empoisonnés, je commence par le plus fort : s’il rate son JS il perd 2d10 +6 points de vie, j’en ai un deuxième comme ça. Ensuite je tire 4 carreaux à 1d10 + 6. Je table sur 50 points de vie maximum, ce qui serait vraiment un énorme maximum, ça voudrait 8 PVs à tous les niveaux et 16 en constitution (bonus 2 PVs/niv.) soit : 8 x 5 = 40 + (2 x 5 = 10) = 50, mais c’est quasiment impossible ! Si j’ai de la chance et si je prends les statistiques, je lui fais une moyenne de 12 + 6 pour chacun des 2 premiers carreaux, soit 36 PVs, ensuite une moyenne de 6+6 pour chaque petit carreau, soit 6 x 4 24. Donc si je compte, et si je réussis bien, j’en suis à 36 + 24 = 58. Et dans tout ça je n’ai pas encore compté les dommages des blessures de carreaux !!! (1d3 par carreau x 6).
8 – Pour faire bon poids, j’enflamme la toile d’araignée, je cite le manuel des joueurs « toute créature emprisonnée dans une toile d’araignée enflammée perd 2d4 points de vie ».
9 – Il me reste encore en tête deux projectiles magiques – temps d’incantation 1, dommages 2d4 + 2 - s’il est encore vivant BackGround (inconnu des joueurs) : - Spoiler:
Background de Coryll-Ann Allyannnister
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, et contrairement à ce qui se passait fréquemment pour les demi-elfes, Coryll'Ann n'a pas eu une enfance malheureuse, bien au contraire. Fille d'un mercenaire humain, Artémor Allyannister, du clan guerrier des Yannister, et d'une sorcière Drow, Soryll-Aud, elle a été entourée de beaucoup d'affection durant son enfance. Son père, entre deux départs, l'adorait, et elle adorait de son côté son visage rude de guerrier, cette odeur de sang, de rouille et de sueur virile qui était comme sa signature, et ses gros doigts habitués à tenir la hache ou l'épée qui s'insinuaient sous sa robe pour lui donner tant de douleur et de plaisir. Sa mère, qui lui enseignait sans patience et avec dureté les secrets des arcanes, ses punitions, pleines d'originalité et de cruauté, ses tapes sur le dos des doigts avec une râpe à fromage par exemple quand elle se trompait, toutes ses petites marques d'affection qui vous donnent envie d'aimer vos parents. Ce qu'elle adorait par dessus tout, c'était voir ses parents torturer longuement les nains, race inférieure qu'elle exécrait, y compris les nains noirs qui pourtant étaient leurs alliés, mais pour lesquels elle nourrissait un profond mépris. Elle appris ainsi beaucoup de l'anatomie, en regardant leur articulations éclater et leurs tripes se répandre. Ah, que de beaux souvenirs, voir encore ces coeurs palpitants dans des poitrines ouvertes, ou ces cerveaux se répandre sur les tables de torture, parfois quand elle y repense, elle a encore une bouffée de nostalgie... Cela commença à éveiller chez elle une vocation, l'envie de soigner ses semblables, ou au contraire de se servir de ces connaissances pour mieux tuer et torturer ses ennemis. Et, par une heureuse coïncidence, elle découvrit la Déesse, très tôt d'ailleurs, vers ses 5 ans, en voyant les prêtres éventrer des humains vivants, pour se laver le visage dans leurs entrailles encore chaudes, elle trouva ce spectacle si captivant, si ravissant, les cris des suppliciés, leur lente agonie, l'odeur lourde et puante des tripes se répandant au sol, la couleur du sang, qu'elle n'eut de cesse de devenir une prêtresse. Elle passa ses premières épreuves à l'âge de 6 ans. Elle garde encore aujourd'hui le doux souvenir de sa première scarification enduite de piment sur la joue à l'âge de 9 ans. Et le merveilleux baptême, au même âge, avec la sodomie délicieusement brutale par les 7 grand prêtres de l'ordre, en public devant toute la communauté, chaque gémissement lui apportant un coup de fouet. Cela lui fut cependant assez facile car son amour de père l'avait déjà longuement et consciencieusement préparé à cela. Elle pris cependant soin à gémir suffisamment, pour ne pas priver la prêtresse fouetteuse de son plaisir, et pour ne pas se priver elle même du bonheur de ressentir le fouet sur sa chair. Sa mère, cependant, ne cédant en rien, continua à lui apprendre la magie, parfois à coups de délicieuses gifles et bastonnades, l'envoyant même chez les magiciennes de la communauté pour améliorer sa pratique. Il lui arrivait parfois de refuser pour recevoir encore quelque volée de sa chère mère. Les privations de repas, soit par punition de la part des magiciennes, soit le jeûne imposé par les prêtres ne firent pas d'elle une personne très forte physiquement, mais par contre cela lui apporta une résistance et une endurance, hors du commun, ainsi qu'une volonté farouche à réussir dans toutes ses entreprises. Et puis, dans tout ce bonheur, survint le drame, alors qu'elle atteignait ses 13 ans, et qu'elle venait de recevoir sa 5ème et dernière scarification -1 par an à partir de la neuvième année-, 5 comme les lobes des poumons, centre de la vie, 2 sur une joue et 3 sur l'autre. Une troupe de paladins, menée par un magicien vêtu de blanc, vint décimer la communauté. Elle vit ce jour là sa mère se carboniser dans l'intense flamme de feu magique jetée par le magicien. Et cette vision l'emplit à la fois de haine et d'envie, de se dire qu'elle pourrait un jour, peut être, devenir aussi puissante que ce magicien pour faire flamber ses ennemis d'un geste simple. Mais toute sa haine, une haine inextinguible, fut dirigée vers les paladins, ces êtres vils et cruels, quand elle vit son père adoré, cet amant si brutalement délicieux, se faire découper à coups de hache, et plus encore, quand elle les vit crucifier ses chers prêtres adorés. Elle réussit, par miracle mais surtout grâce à l'aide des hommes-rats qui servaient de domestiques, à se cacher pendant le massacre. Quand les paladins partirent, il ne restait que des ruines fumantes. Elle arriva cependant trouver dedans quelques pièces d'équipement, quelques menus richesses, si peu, et surtout elle alla ramasser dans les cendres fumantes un petit os de sa mère qui avait résisté aux flammes. Elle comprit alors que sa vie était devenu une vie d'errante. En dépit de son visage défiguré, elle se rendit rapidement compte que son corps juvénile exerçait un attrait auprès de ces humains, si bêtes, si obsédés et si avides, et que c'était un moyen facile d'obtenir ce qu'elle voulait, et ainsi elle augmenta rapidement et facilement son pécule. Car, comme lui ont dit les prêtres, tout particulièrement après avoir abusé de son jeune corps, le corps n'est qu'une enveloppe, ils lui ont ainsi appris de nombreuses techniques amoureuses qui font d'elle, malgré sa jeunesse, une experte, ce qui lui permet plus facilement encore d'abuser et de dépouiller les pauvres imbéciles qu'elle croise. Elle apprit pour cela très rapidement à cacher sa nature profonde, à dissimuler ses sentiments, son goût pour l'écorchage, son amour de la tripe fraîche... Enfin un soir, dans une auberge, un jeune mage, guère plus expérimenté qu'elle, lui fit des avances, et ce sot lui confia qu'il avait quelques possessions intéressantes dont un fort joli petit livre de sorts. Soudain, elle compris comment devenir le grand mage qu'elle rêvait de devenir, le souvenir du grand mage enflammant sa mère ressurgissant dans son esprit, et elle égorgea dans son sommeil le jeune mage pour lui voler ses possessions, et particulièrement son livre de sorts. Elle eu également le bonheur de découvrir sur lui quelques objets magiques. Sa haine des paladins ne s'éteignant pas, elle eu la chance de croiser une puissante ensorceleuse qui lui vendit, pour une petite fortune, en fait presque toute sa fortune, une flèche «Tueuse de Paladin », qu'elle conserve précieusement, pour la réserver pour une belle et grande occasion. Elle a ensuite passé quelques mois avec cette ensorceleuse afin de perfectionner sa connaissance des poisons. Elle en connaissait déjà de nombreux, pratique courante chez les Elfes Noirs, mais elle ne savait pas encore en fabriquer . La chance, car la Déesse, pour la remercier de toutes ses prières et ses dévotions, lui donne beaucoup de chance, la chance donc mit sur sa route une second jeune mage, qui fut plus certes difficile à tuer que le premier, mais qui finit par mourir quand même, et son livre de sorts s'enrichit de cette nouvelle prise de guerre. Sans compter que de plus celui-ci avait des objets magiques encore plus intéressants que le premier. Aujourd'hui, parvenue au 4ème cercle des Arcanes, elle poursuit sa vie d'errante, elle y a pris goût maintenant. Elle continue sans relâche à prier et à servir la Déesse, mais les temples de Khemziin sont rares pour progresser dans les cercles du service à la Déesse. Elle cherche inlassablement de nouveaux mages à dépouiller afin d'augmenter sa puissance pour enfin être à même d'assouvir sa vengeance et pouvoir tuer, après tortures raffinées bien sur, le grand maître des paladins. Elle imagine le soir en s'endormant de multiples raffinements tous plus cruels les une que les autres pour l'entendre gémir et hurler pendant des heures.
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